Nous avons quitté Paris, sous la pluie, en suivant la vallée de la Seine en passant progressivement d’un itinéraire urbain à un parcours nettement plus pittoresque. Nous laissions les usines du bord de Seine derrière nous pour traverser des villages dont certaines maisons, œuvres de Louis Périn, rivalisent de beauté avec celles qui furent construites à Bruxelles par Victor Horta.
Nous sommes tous au courant de la situation de crise qui nous empêche de nous réunir comme nous le souhaitions. Nous nous devons d’être réactifs et solidaires, de prendre soin des nôtres et des autres. Internet nous permet de prendre connaissance de ce que nous pouvons et ne pouvons pas faire. Ce site que vous pouvez consulter est le https://www.info-coronavirus.be/fr/faqs/.
Vous l’avez entendu, les activités récréatives et sportives publiques et privées doivent être annulées. Les personnes âgées sont invitées à rester chez elle. Les septuagénaires deviennent légion au sein du club et aiment à se retrouver devant un bon hydratant !
Grrrr. L’Horeca doit fermer ses portes ce jour à partir de minuit. On nous coupe l’herbe sous le pied néanmoins, il va de soi qu’il faut raison garder et comme la persévérance est la mère de toutes les vertus …..
De nombreuses informations circulent via les médias et les réseaux sociaux à propos du coronavirus. Il est important de reconsidérer à chaque fois la teneur du message. Le site de référence pour la Belgique est actuellement le site Coronavirus COVID-19. Vous y trouverez toutes les informations et les réponses aux questions que vous pourriez vous poser.
Les mesures de prudence que nous pouvons y lire nous invitent à modifier certains de nos comportements. Enfin, la conférence de presse du gouvernement fédéral de ce jeudi soir nous oblige aussi à prendre des mesures plus radicales.
La « poignée hollandaise » est un geste simple qui permet aux automobilistes stationnés de voir les cyclistes en approche et d’éviter les accidents d’emportiérage. Le GRACQ La Hulpe lance une campagne de sensibilisation afin de les inciter à acquérir ce réflexe de sécurité.
Suite à l’article « Vélos dans les trains : la Belgique doit soutenir l’Europe » publié il y a une quinzaine de jours et des courriels envoyés au Ministre de la Mobilité ainsi qu’à huit europarlementaires, nous avons eu le plaisir de recevoir une réponse du Ministre François Bellot ainsi que de l’eurodéputé Monsieur Lutgen.
Nous les remercions déjà de nous avoir transmis une réponse.
Depuis de nombreuses années le Comité de La Margelle insiste auprès de chaque membre pour que nous respections l’environnement lors de nos sorties. Il n’est pas rare que le P’tit nous rappelle la présence d’une poubelle dans notre camionnette. Au fil du temps, nous avons acquis certaines habitudes qui nous permettent de circuler avec fierté dans nos campagne. Cependant à l’heure où on nous parle quotidiennement du réchauffement climatique nous pouvons certainement faire encore mieux.
Tout comme les enfants qui retrouvent leurs amis et leurs professeurs à la rentrée de septembre, nous étions bien heureux ce dimanche à nous retrouver pour cette première randonnée de la saison 2020. Si pour certains ce n’était que la suite des hivernales pour d’autres ces premiers kilomètres de mars étaient aussi leurs premiers kilomètres depuis fin octobre.
Après la photo traditionnelle du groupe, c’est sous la conduite de nos capitaines que le peloton s’est élancé contre un vent à décorner les boeufs.
Lors de notre récent voyage à vélo jusqu’en Charente-Maritime (Lire Du tumulus à l’Atlantique) nous avons été confronté au manque d’offre pour effectuer le trajet retour en train. Impossible de revenir en TGV jusqu’à Bruxelles. Si certains trains à grande vitesse nous permettaient d’effectuer un trajet en deux étapes (avec changement à Paris) jusqu’à Lille, au delà cela devenait une véritable galère pour rejoindre notre domicile.
C’est donc naturellement que je vous invite à participer à la campagne européenne #TrainsForCyclists relayée par le Gracq.
Lors de la préparation de l’itinéraire, ma hantise était la région parisienne. Je ne voulais pas trop m’y attarder. J’avais donc calculé les étapes avant et après Paris en conséquence.
A partir de Guise, nous allions donc longer l’Oise sur plus d’une centaine de kilomètres avant de descendre plein Sud afin de contourner le Nord de Paris. En fonction de mes projets, nous avions environ 125 kilomètres à parcourir … ce qui nous laissait bien le temps de flâner en cours de route.
Pourquoi notre club s’appelle La Margelle ?
